Charles Constantin-Vallet, guerrier d’usure – Libération

Presse

21 juillet 2020

Cet avocat karatéka ferraille, dans un combat de longue haleine et à succès, contre la BNP et ses prêts toxiques.

Son visage aux traits fins et juvéniles était jusque-là méconnu. Le discret Charles Constantin-Vallet («CCV»), bientôt 45 ans, s’est imposé à la lumière d’un procès hors-norme, celui des prêts Helvet Immo – commercialisés en 2008 et 2009 – de la principale filiale crédit de BNP Paribas. Des prêts toxiques, accordés en francs suisses mais remboursables en euros, au sujet desquels les emprunteurs (4 655, dont 2 300 se sont constitués partie civile) n’ont pas été avisés du haut risque de change. Résultat : la banque française, qui a été condamnée fin février (et a fait appel) pour «pratique commerciale trompeuse», devra s’acquitter d’une amende maximale et indemniser ses clients. Une décision forte, à peine célébrée par Constantin-Vallet, le conseil de 1 300 parties civiles : «J’étais déjà dans le coup d’après.»

Article de Chloé Pilorget-Rezzouk, photo Audoin Desforges, 21 juillet 2020. Le portrait Charles Constantin-Vallet, guerrier d’usure. Libération, 22 juillet 2020.

Retrouvez l’article de presse ici

Cabinet Constantin-Vallet Avocats
Résumé de la politique de confidentialité

Ce site utilise des cookies afin que nous puissions vous fournir la meilleure expérience utilisateur possible. Les informations sur les cookies sont stockées dans votre navigateur et remplissent des fonctions telles que vous reconnaître lorsque vous revenez sur notre site Web et aider notre équipe à comprendre les sections du site que vous trouvez les plus intéressantes et utiles.